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Prix 2018 de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse
Publié le 4 février 2019 – Mis à jour le 7 février 2019
Des chercheurs de l'UT2J parmi les lauréats 2018 !
Chaque année, l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse lance un appel à candidatures dans la sphère universitaire pour une large palette de prix destinés à récompenser des titulaires récents de doctorats, aux travaux de recherche d’exception.
L’Académie est la seule structure régionale à décerner des prix dans une aussi large gamme de champs disciplinaires (littéraire, scientifique, médical…).
Les candidatures sont évaluées par des rapporteurs, et la décision finale d’attribution des prix revient à un jury rassemblant les experts de l’Académie. Les prix sont pour la plupart soutenus financièrement par des sponsors (collectivités, institutions, sociétés privées) ou par des fonds propres de l’Académie. Véritables fers de lance de la recherche moderne, la valeur des jeunes docteurs n’est plus à prouver, mais doit être distinguer et davantage reconnue comme cela se pratique dans d’autres pays.
Introduite par une conférence de Robert Marconis, professeur émérite du laboratoire LISST, la séance solennelle d’attribution des prix 2018, organisée le 2 décembre dernier, est l’occasion de revenir sur les lauréats de l’Université Toulouse – Jean Jaurès primés cette année :
- Le prix du Conseil Départemental de la Haute-Garonne a été décerné à Martine Durand-Terreaux, ATER en Sciences de l’éducation à l’UT2J, pour sa thèse : L’enseignement moral à l’école aujourd’hui : un projet faisable ?
- Le prix Université Toulouse – Jean Jaurès récompensant un travail de recherche dans le domaine des lettres, langues et sciences humaines et sociales est attribué à Claire Cazajous-Augé et à Étienne Février, ex aequo. Tous deux membres du laboratoire CAS, les travaux de thèse s’intéressent à la présence de l’animal dans les nouvelles de Rick Bass, pour elle et à l’écriture miniaturiste de Steven Millhauser, pour lui.
- Le prix Alfred Dumeril honore ouvrage original ou publié sur un sujet d’histoire politique, sociale ou économique, il revient cette année à Myriam Yakoubi. Maitre de conférences au laboratoire CAS, elle a soutenu la thèse suivante : « La relation anglo-hachémite (1914-1958) : une romance anglo-arabe ».
- Enfin, le prix Sydney-Forado est remis à l’auteur d’un ouvrage ou d’une thèse à caractère historique. Cette année, Christelle Fairise en est la lauréate. Doctorante rattachée au laboratoire PLH, elle reçoit cette récompense pour son travail de thèse intitulé : Écrire et réécrire la vie de la Vierge en Islande au Moyen Âge (XIIIe-XIVesiècles). La Maríu saga : Étude et traduction.
Un grand bravo à eux !
Photo de Une : JJAder- Fondation Bemberg
L’Académie est la seule structure régionale à décerner des prix dans une aussi large gamme de champs disciplinaires (littéraire, scientifique, médical…).
Les candidatures sont évaluées par des rapporteurs, et la décision finale d’attribution des prix revient à un jury rassemblant les experts de l’Académie. Les prix sont pour la plupart soutenus financièrement par des sponsors (collectivités, institutions, sociétés privées) ou par des fonds propres de l’Académie. Véritables fers de lance de la recherche moderne, la valeur des jeunes docteurs n’est plus à prouver, mais doit être distinguer et davantage reconnue comme cela se pratique dans d’autres pays.
Introduite par une conférence de Robert Marconis, professeur émérite du laboratoire LISST, la séance solennelle d’attribution des prix 2018, organisée le 2 décembre dernier, est l’occasion de revenir sur les lauréats de l’Université Toulouse – Jean Jaurès primés cette année :
- Le prix du Conseil Départemental de la Haute-Garonne a été décerné à Martine Durand-Terreaux, ATER en Sciences de l’éducation à l’UT2J, pour sa thèse : L’enseignement moral à l’école aujourd’hui : un projet faisable ? - Le prix Université Toulouse – Jean Jaurès récompensant un travail de recherche dans le domaine des lettres, langues et sciences humaines et sociales est attribué à Claire Cazajous-Augé et à Étienne Février, ex aequo. Tous deux membres du laboratoire CAS, les travaux de thèse s’intéressent à la présence de l’animal dans les nouvelles de Rick Bass, pour elle et à l’écriture miniaturiste de Steven Millhauser, pour lui. - Le prix Alfred Dumeril honore ouvrage original ou publié sur un sujet d’histoire politique, sociale ou économique, il revient cette année à Myriam Yakoubi. Maitre de conférences au laboratoire CAS, elle a soutenu la thèse suivante : « La relation anglo-hachémite (1914-1958) : une romance anglo-arabe ». - Enfin, le prix Sydney-Forado est remis à l’auteur d’un ouvrage ou d’une thèse à caractère historique. Cette année, Christelle Fairise en est la lauréate. Doctorante rattachée au laboratoire PLH, elle reçoit cette récompense pour son travail de thèse intitulé : Écrire et réécrire la vie de la Vierge en Islande au Moyen Âge (XIIIe-XIVesiècles). La Maríu saga : Étude et traduction. Un grand bravo à eux !
Photo de Une : JJAder- Fondation Bemberg