Discipline(s) : Arts, Information-Communication
-
Partager cette page
AC00113T - Conférences pluridisciplinaires Art&Com 2
Semestre | Semestre 2 |
---|
Crédits ECTS | 4 |
---|---|
Volume horaire total | 25 |
Domaine(s) LMD
ARTS, LETTRES ET LANGUES
Langue(s) d'enseignement
Français
Responsables
Amanda Rueda et Elise Van Haesebroeck
Contacts
amanda.rueda@univ-tlse2.fr
elise.vanhaesebroeck@univ-tlse2.fr
elise.vanhaesebroeck@univ-tlse2.fr
Contenu
Intervenantes : Amanda Rueda et Elise Van Haesebroeck
Thématique proposée : Le « je » au bord de la fiction
Descriptif :
- Partie Elise Van Haesebroeck
Nous nous intéresserons à des formes hybrides qui brouillent les frontières entre la biographie et la fiction – auto-fiction, autobiographie fictionnée, bio-fiction, docu-fiction - et sèment ainsi le trouble dans l’identité de l’auteur, du metteur en scène ou du personnage. Nous interrogerons les enjeux dramaturgiques, esthétiques et politiques de ces créations « impures » qui se trouvent au seuil entre biographie et fiction ou, comme le dit Jacques Rancière, « au bord de la fiction ». Notre analyse se portera sur des écritures dramatiques et sur des nouveaux modèles de narrativité ainsi que sur des écritures scéniques. Notre corpus sera composé de pièces créées par Jonathan Capdevielle (Adishatz, Saga et Rémi d’après le roman de Hector Malot), de pièces de Marion Siefert (Deux ou trois choses que je sais de vous, Le Grand sommeil), de pièces chorégraphiques d’Alain Buffard (Les Inconsolés).
- Partie Amanda Rueda
Le rapport du cinéma au réel renvoie à diverses expériences cinématographiques comme celle de cinéma-vérité et de cinéma direct, il relève des démarches documentaires et fictionnelles en prise avec le réel et à plusieurs problématiques qui pointent les ressorts du cinéma : la captation ou la mise en scène du réel, la poétique du réel ou l’effet du réel, la fictionalisation du réel, l’intervention dans le réel par le cinéma… Ces conférences cherchent à élucider la question du réel dans le cinéma, et à analyser ce qui sépare et ce qui rapproche les cinémas dits de « fiction » et de « non-fiction ». Notre corpus sera composé de cinéastes qui brouillent les frontières entre ces dernières tout en soulevant la question de la mémoire personnelle et/ou historique (Robert Kramer, Rithy Pahn, Carmen Castillo, Patricio Guzman, Abbas Kiarostami…).
Thématique proposée : Le « je » au bord de la fiction
Descriptif :
- Partie Elise Van Haesebroeck
Nous nous intéresserons à des formes hybrides qui brouillent les frontières entre la biographie et la fiction – auto-fiction, autobiographie fictionnée, bio-fiction, docu-fiction - et sèment ainsi le trouble dans l’identité de l’auteur, du metteur en scène ou du personnage. Nous interrogerons les enjeux dramaturgiques, esthétiques et politiques de ces créations « impures » qui se trouvent au seuil entre biographie et fiction ou, comme le dit Jacques Rancière, « au bord de la fiction ». Notre analyse se portera sur des écritures dramatiques et sur des nouveaux modèles de narrativité ainsi que sur des écritures scéniques. Notre corpus sera composé de pièces créées par Jonathan Capdevielle (Adishatz, Saga et Rémi d’après le roman de Hector Malot), de pièces de Marion Siefert (Deux ou trois choses que je sais de vous, Le Grand sommeil), de pièces chorégraphiques d’Alain Buffard (Les Inconsolés).
- Partie Amanda Rueda
Le rapport du cinéma au réel renvoie à diverses expériences cinématographiques comme celle de cinéma-vérité et de cinéma direct, il relève des démarches documentaires et fictionnelles en prise avec le réel et à plusieurs problématiques qui pointent les ressorts du cinéma : la captation ou la mise en scène du réel, la poétique du réel ou l’effet du réel, la fictionalisation du réel, l’intervention dans le réel par le cinéma… Ces conférences cherchent à élucider la question du réel dans le cinéma, et à analyser ce qui sépare et ce qui rapproche les cinémas dits de « fiction » et de « non-fiction ». Notre corpus sera composé de cinéastes qui brouillent les frontières entre ces dernières tout en soulevant la question de la mémoire personnelle et/ou historique (Robert Kramer, Rithy Pahn, Carmen Castillo, Patricio Guzman, Abbas Kiarostami…).