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Jérémy Perez, zoom sur un ancien étudiant
Publié le 24 juin 2013 – Mis à jour le 26 octobre 2018
Jérémy Perez est diplômé en géographie. Il exerce aujourd’hui la profession d’urbaniste dans un bureau d’études.
Pourquoi ce choix d’étudier la géographie à l’Université de Toulouse II-Le Mirail ?
J’ai passé mon bac en 2005 dans le Gers. Un bac STAE (technologie et aménagement), donc ma sensibilité me portrait déjà vers ces disciplines : la géographie, l’aménagement, l’environnement. J’ai grandi dans un milieu rural. J’ai d’ailleurs fait le choix de m’inscrire en bac technologique, car j’étais naturellement portée vers un enseignement plus pratique, plus concret que celui dispensé dans des filières plus classiques.
Après le bac, j’ai postulé en économie, dans des écoles d’architecture, puis je me suis renseigné sur la filière Géographie/Aménagement car les débouchés tout autant que les possibilités de poursuite d’études me convenaient.
Je me suis donc inscrit en géographie avec pour mineure économie. J’ai poursuivi ma licence en IUP Aménagement et développement territorial jusqu’à l’obtention du master 2 professionnel Aménagement et développement territorial.
Qu’avez-vous appris à l’Université du Mirail ? Et quels souvenirs gardez-vous de vos études là-bas ?
J’ai appris à exercer mon esprit de synthèse, d’écrire en structurant ma pensée. J’ai appris aussi à développer de bonnes capacités de travail personnel. Et puis je garde d’excellents souvenirs des mes enseignants, des étudiants. Il y avait beaucoup d’émulation mais aussi une excellente ambiance entre nous.
Comment s’est déroulée votre insertion dans la vie professionnelle ?
J’ai eu une chance folle. J’ai obtenu un stage à l’Agence Régionale Pour l’Environnement (ARPE) de 6 mois lors de mon master 1. Puis en master 2, j’ai effectué un stage dans le bureau d’études « L’Atelier d’aménagement et d’urbanisme », qui propose des prestations de services pour les collectivités, et dans lequel je travaille aujourd’hui, près de 3 ans après.
J’ai été rappelé en renfort à l’issue de mon stage. Je ne pouvais pas faire mieux, j’ai récupéré mon diplôme de master 2 et le même jour j’étais réembauché dans cette entreprise. J’y suis resté depuis juillet 2010.
En quoi consiste votre travail aujourd’hui ?
Je suis urbaniste, j’apporte un conseil aux collectivités territoriales et j’accompagne les élus dans leurs prises de décisions en matière de projets urbains. Je travaille sur des dossiers divers : du PLU de Tarbes, à la réhabilitation de la bastide de Carcassonne.
Ce qui me plaît avant tout, c’est le contact humain dans ce travail, j’apprécie contribuer à l’amélioration du quotidien des gens. Je consacre d’ailleurs 40% de mon temps à être sur le terrain, au contact direct avec les différents acteurs, des aménageurs/promoteurs, aux politiques en passant la population.
Ce que j’apprécie aussi c’est l’ambiance qui règne dans mon travail. Il n’y a pas de rapport hiérarchique dans le sens où nous travaillons ensemble, dans la même barque, pour mener à bien de beaux projets. C’est un vrai travail d’équipe.
Quels conseils donneriez-vous à des étudiants qui seraient intéressés par votre filière ou ce métier ?
D’être impliqués avant tout. D’avoir la vocation. D’aimer les gens. De ne pas être avare de son temps. Il n’est pas rare que les rendez-vous de travail se prolongent tard, notamment lors des réunions publiques. . Et puis d’avoir toujours envie d’apprendre au quotidien. Et puis bien sûr, faire des stages.
Jérémy Pérez a fait l’objet d’un film documentaire réalisé par la DOSI et la DTICE dans la collection trajectoire, revoir le film
Propos recueillis par Alexandra Guyard, Responsable de la communication de l’UTM
J’ai passé mon bac en 2005 dans le Gers. Un bac STAE (technologie et aménagement), donc ma sensibilité me portrait déjà vers ces disciplines : la géographie, l’aménagement, l’environnement. J’ai grandi dans un milieu rural. J’ai d’ailleurs fait le choix de m’inscrire en bac technologique, car j’étais naturellement portée vers un enseignement plus pratique, plus concret que celui dispensé dans des filières plus classiques.
Après le bac, j’ai postulé en économie, dans des écoles d’architecture, puis je me suis renseigné sur la filière Géographie/Aménagement car les débouchés tout autant que les possibilités de poursuite d’études me convenaient.
Je me suis donc inscrit en géographie avec pour mineure économie. J’ai poursuivi ma licence en IUP Aménagement et développement territorial jusqu’à l’obtention du master 2 professionnel Aménagement et développement territorial.
Qu’avez-vous appris à l’Université du Mirail ? Et quels souvenirs gardez-vous de vos études là-bas ?
J’ai appris à exercer mon esprit de synthèse, d’écrire en structurant ma pensée. J’ai appris aussi à développer de bonnes capacités de travail personnel. Et puis je garde d’excellents souvenirs des mes enseignants, des étudiants. Il y avait beaucoup d’émulation mais aussi une excellente ambiance entre nous.
Comment s’est déroulée votre insertion dans la vie professionnelle ?
J’ai eu une chance folle. J’ai obtenu un stage à l’Agence Régionale Pour l’Environnement (ARPE) de 6 mois lors de mon master 1. Puis en master 2, j’ai effectué un stage dans le bureau d’études « L’Atelier d’aménagement et d’urbanisme », qui propose des prestations de services pour les collectivités, et dans lequel je travaille aujourd’hui, près de 3 ans après.
J’ai été rappelé en renfort à l’issue de mon stage. Je ne pouvais pas faire mieux, j’ai récupéré mon diplôme de master 2 et le même jour j’étais réembauché dans cette entreprise. J’y suis resté depuis juillet 2010.
En quoi consiste votre travail aujourd’hui ?
Je suis urbaniste, j’apporte un conseil aux collectivités territoriales et j’accompagne les élus dans leurs prises de décisions en matière de projets urbains. Je travaille sur des dossiers divers : du PLU de Tarbes, à la réhabilitation de la bastide de Carcassonne.
Ce qui me plaît avant tout, c’est le contact humain dans ce travail, j’apprécie contribuer à l’amélioration du quotidien des gens. Je consacre d’ailleurs 40% de mon temps à être sur le terrain, au contact direct avec les différents acteurs, des aménageurs/promoteurs, aux politiques en passant la population.
Ce que j’apprécie aussi c’est l’ambiance qui règne dans mon travail. Il n’y a pas de rapport hiérarchique dans le sens où nous travaillons ensemble, dans la même barque, pour mener à bien de beaux projets. C’est un vrai travail d’équipe.
Quels conseils donneriez-vous à des étudiants qui seraient intéressés par votre filière ou ce métier ?
D’être impliqués avant tout. D’avoir la vocation. D’aimer les gens. De ne pas être avare de son temps. Il n’est pas rare que les rendez-vous de travail se prolongent tard, notamment lors des réunions publiques. . Et puis d’avoir toujours envie d’apprendre au quotidien. Et puis bien sûr, faire des stages.
Jérémy Pérez a fait l’objet d’un film documentaire réalisé par la DOSI et la DTICE dans la collection trajectoire, revoir le film
Propos recueillis par Alexandra Guyard, Responsable de la communication de l’UTM