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Lai Thi Thu Ha, zoom sur une ancienne étudiante
Publié le 28 septembre 2016 – Mis à jour le 26 octobre 2018
Chargée de mission pour la coopération internationale, Lai Thi Thu Ha est diplômée du master (Management de l'Action Publique et des Entreprises).
Ha, nous avons vu le 8 septembre 2016 que vous étiez au premier plan lors de la visite du président français François Hollande au Vieux Quartier de Hanoi (Vietnam).
Quelle est votre fonction actuelle ?
Je suis chargée de mission pour la coopération internationale, francophone en particulier, au sein du Bureau de gestion du Vieux Quartier qui dépend du Comité populaire de l’arrondissement Hoan-Kiem de notre ville.
La compétence francophone est évidemment importante dans votre travail, comment êtes-vous entrée en francophonie ?
Au départ, je suis diplômée en langue française à l’École supérieure de langues étrangères de Hanoi. J’ai ensuite été embauchée au Bureau de gestion en 1998, deux ans après le démarrage de la coopération Toulouse-Hanoi. J’y suis donc toujours et j’ai accompagné les projets successifs ces vingt dernières années.
En 2011, vous vous inscrivez au Master MAPE, Management de l’Action Publique et des Entreprises du département de sociologie de l’Université Toulouse Jean Jaurès, qui est délivré en partenariat avec l’Université des Sciences Sociales et Humaines de Hanoi. Pour quelle raison ?
J’avais besoin de renforcer mon bagage linguistique en sciences sociales. L’acquisition d’outils méthodologiques et de grilles d’analyses sociologiques pour l’action m’apparaissait aussi nécessaire compte tenu de l’évolution de notre coopération, avec une complexification des référentiels et des dossiers à préparer.
Concrètement, que vous a apporté l'obtention du Master MAPE ?
D’abord, une légitimation et une reconnaissance dans mon institution. Dans notre pays c’est très important. Et surtout une assurance confortée pour la négociation interne et externe, avec nos partenaires internationaux, toulousains en particulier. Je maîtrise mieux les interculturalités de travail, d’autant que les étudiants du Master de Hanoi venaient de plusieurs pays, dont la France. Concevoir et développer un projet, c’est plus facile avec des outils et des méthodes.
La coopération Hanoi-Toulouse va-t-elle continuer ?
Certainement, même si les thématiques et les formats vont se transformer. J’aurai plaisir à les présenter à vos étudiants toulousains, ainsi que l’historique évidemment.
Quelle est votre fonction actuelle ?
Je suis chargée de mission pour la coopération internationale, francophone en particulier, au sein du Bureau de gestion du Vieux Quartier qui dépend du Comité populaire de l’arrondissement Hoan-Kiem de notre ville.
La compétence francophone est évidemment importante dans votre travail, comment êtes-vous entrée en francophonie ?
Au départ, je suis diplômée en langue française à l’École supérieure de langues étrangères de Hanoi. J’ai ensuite été embauchée au Bureau de gestion en 1998, deux ans après le démarrage de la coopération Toulouse-Hanoi. J’y suis donc toujours et j’ai accompagné les projets successifs ces vingt dernières années.
En 2011, vous vous inscrivez au Master MAPE, Management de l’Action Publique et des Entreprises du département de sociologie de l’Université Toulouse Jean Jaurès, qui est délivré en partenariat avec l’Université des Sciences Sociales et Humaines de Hanoi. Pour quelle raison ?
J’avais besoin de renforcer mon bagage linguistique en sciences sociales. L’acquisition d’outils méthodologiques et de grilles d’analyses sociologiques pour l’action m’apparaissait aussi nécessaire compte tenu de l’évolution de notre coopération, avec une complexification des référentiels et des dossiers à préparer.
Concrètement, que vous a apporté l'obtention du Master MAPE ?
D’abord, une légitimation et une reconnaissance dans mon institution. Dans notre pays c’est très important. Et surtout une assurance confortée pour la négociation interne et externe, avec nos partenaires internationaux, toulousains en particulier. Je maîtrise mieux les interculturalités de travail, d’autant que les étudiants du Master de Hanoi venaient de plusieurs pays, dont la France. Concevoir et développer un projet, c’est plus facile avec des outils et des méthodes.
La coopération Hanoi-Toulouse va-t-elle continuer ?
Certainement, même si les thématiques et les formats vont se transformer. J’aurai plaisir à les présenter à vos étudiants toulousains, ainsi que l’historique évidemment.