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Disrupt’Campus : on rentre dans le concret !
Publié le 7 décembre 2018 – Mis à jour le 10 janvier 2019
Témoignages des enseignants et étudiants de l’UT2J qui se sont lancés dans l’aventure de ce dispositif pédagogique d’un genre nouveau !
Après une première soirée de découverte des problématiques des entreprises impliquées dans Disrupt’Campus, la soirée Disrupt’Match organisée le 29 novembre dernier à UT1 Capitole offrait l’occasion à tous les étudiants des masters concernés (Université Toulouse - Capitole, Université Toulouse - Jean Jaurès, et Université Paul Sabatier-Toulouse III) de rentrer dans le vif du sujet, aux côtés de leurs enseignants et des entreprises.
Pour Hervé Luga, enseignant à l’ESPE et vice-président de l’université de Toulouse en charge du numérique, participer à ce challenge relevait de l’évidence : « Pour nos étudiants, c’est une occasion unique d’une ouverture supplémentaire sur le monde professionnel. L’approche transdisciplinaire m’a également séduit ».
Deux masters de l’ESPE ont, en effet, répondu présents pour cette première session :
• MEEF E-Fen (e-Formation et environnement numérique) qui forme des experts en matière d’environnement du numérique, intervenant en amont de la conception de ressources.
• Et MEEF CRN (Concepteur de ressources numériques), codirigé par Hervé Luga lui-même, qui est axé sur la conception de ressources de médiation avec une forte composante pédagogique.
Enseignant en sociologie, Nicolas Golovtchenko s’est dit curieux de la démarche expérimentale et a mobilisé le master SOAP (Sociologie des Organisations et de l’Action Publique) : « A priori ce ne peut qu’être bénéfique pour l’employabilité de mes étudiants, même si pour les masters de première année, ils ne sont pas encore aguerris à tous les outils méthodologiques. Ce sont surtout les plus motivés qui ont répondu présents, sachant que la charge de travail est déjà lourde en master 2».
Et de poursuivre : « Disrupt’Campus complète l’éventail de l’offre, et la montée en compétences pour mes étudiants qui peuvent par ce biais travailler et partager avec des informaticiens et des juristes. »
Pour les étudiants de l’université, ce challenge est aussi l’occasion de travailler dans le concret. Et c’est d’ailleurs le souci des organisateurs qui ont insisté sur la créativité et la collaboration entre les masters d’universités différentes.
Pour Camille, étudiante en master SOAP, qui souhaite travailler en lien avec les collectivités territoriales, le dispositif Disrupt est un bon complément à son enquête école. Son groupe, surnommé groupe Savon, en clin d’œil au nom de leur formation, a choisi d’accompagner l’entreprise Palanca, société spécialisée en accompagnement et conseil en matière de développement durable et RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises).
Mathieu, qui a étudié les sciences politiques à Montréal avant de rejoindre l’UT2J, et Aniss, issu la licence de sociologie et titulaire d’un master en sciences politiques, également en master SOAP, ont choisi de travailler aux côtés de Vinci Facilities pour étudier l’acceptation de la transition numérique auprès des salariés de l’entreprise. Le nom de code de leur groupe : « Léonardo retourne chez Vinci » !
Et les deux sont unanimes, ils sont ravis de travailler sur le terrain sur des sujets très pragmatiques, qui plus est, au contact d’une « grosse entreprise ».
Côté entreprises, la satisfaction est aussi de mise comme l’explique Sophie Bogaert, chef d’entreprise de Vinci Facilities, ravie de rencontrer de jeunes talents aux compétences variées et très motivés : « La diversité est une richesse. Ce programme est une opportunité de sortir de notre quotidien, de s’ouvrir à de nouvelles choses, de faire de belles rencontres. Je suis convaincue que nous allons construire ensemble des projets innovants.
A cet égard, cette soirée n’était qu’un point d’étape et d’autres rendez-vous sont d’ores et déjà notés dans les agendas de chacun.
Séduits par la démarche ? Disrupt Campus voit plus loin et recherche de nouvelles volontés, côté étudiants, comme enseignants. En savoir plus
Pour Hervé Luga, enseignant à l’ESPE et vice-président de l’université de Toulouse en charge du numérique, participer à ce challenge relevait de l’évidence : « Pour nos étudiants, c’est une occasion unique d’une ouverture supplémentaire sur le monde professionnel. L’approche transdisciplinaire m’a également séduit ».
Deux masters de l’ESPE ont, en effet, répondu présents pour cette première session :
• MEEF E-Fen (e-Formation et environnement numérique) qui forme des experts en matière d’environnement du numérique, intervenant en amont de la conception de ressources.
• Et MEEF CRN (Concepteur de ressources numériques), codirigé par Hervé Luga lui-même, qui est axé sur la conception de ressources de médiation avec une forte composante pédagogique.
Enseignant en sociologie, Nicolas Golovtchenko s’est dit curieux de la démarche expérimentale et a mobilisé le master SOAP (Sociologie des Organisations et de l’Action Publique) : « A priori ce ne peut qu’être bénéfique pour l’employabilité de mes étudiants, même si pour les masters de première année, ils ne sont pas encore aguerris à tous les outils méthodologiques. Ce sont surtout les plus motivés qui ont répondu présents, sachant que la charge de travail est déjà lourde en master 2».
Et de poursuivre : « Disrupt’Campus complète l’éventail de l’offre, et la montée en compétences pour mes étudiants qui peuvent par ce biais travailler et partager avec des informaticiens et des juristes. »
Pour les étudiants de l’université, ce challenge est aussi l’occasion de travailler dans le concret. Et c’est d’ailleurs le souci des organisateurs qui ont insisté sur la créativité et la collaboration entre les masters d’universités différentes.
Pour Camille, étudiante en master SOAP, qui souhaite travailler en lien avec les collectivités territoriales, le dispositif Disrupt est un bon complément à son enquête école. Son groupe, surnommé groupe Savon, en clin d’œil au nom de leur formation, a choisi d’accompagner l’entreprise Palanca, société spécialisée en accompagnement et conseil en matière de développement durable et RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises).
Mathieu, qui a étudié les sciences politiques à Montréal avant de rejoindre l’UT2J, et Aniss, issu la licence de sociologie et titulaire d’un master en sciences politiques, également en master SOAP, ont choisi de travailler aux côtés de Vinci Facilities pour étudier l’acceptation de la transition numérique auprès des salariés de l’entreprise. Le nom de code de leur groupe : « Léonardo retourne chez Vinci » !
Et les deux sont unanimes, ils sont ravis de travailler sur le terrain sur des sujets très pragmatiques, qui plus est, au contact d’une « grosse entreprise ».
Côté entreprises, la satisfaction est aussi de mise comme l’explique Sophie Bogaert, chef d’entreprise de Vinci Facilities, ravie de rencontrer de jeunes talents aux compétences variées et très motivés : « La diversité est une richesse. Ce programme est une opportunité de sortir de notre quotidien, de s’ouvrir à de nouvelles choses, de faire de belles rencontres. Je suis convaincue que nous allons construire ensemble des projets innovants.
A cet égard, cette soirée n’était qu’un point d’étape et d’autres rendez-vous sont d’ores et déjà notés dans les agendas de chacun.
Séduits par la démarche ? Disrupt Campus voit plus loin et recherche de nouvelles volontés, côté étudiants, comme enseignants. En savoir plus