Discipline(s) : Sciences Humaines et Sociales
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SOS0111T - Mémoire et stage professionnel
| Semestre | Semestre 2 |
|---|
| Crédits ECTS | 19 |
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Responsables
Nicolas GOLOVTCHENKO
Enseignant-e-s :
Stéphanie GOIRAND
Nicolas GOLOVTCHENKO
Enseignant-e-s :
Stéphanie GOIRAND
Nicolas GOLOVTCHENKO
Contacts
stephanie.goirand@univ-tlse2.fr
Objectifs
Le stage individuel de 16 à 18 semaines est préparé dès le semestre 9 dans le cadre de l’UE 905 « préparation stage professionnel ».
Le principe est de placer l’étudiant en position de chargé d’étude et/ou de mission. De ce fait, le responsable universitaire du stage (le directeur du mémoire) est étroitement associé au tuteur (le responsable en entreprise ou administration) à la négociation du contenu du stage et se porte garant des résultats du stage, c’est-à-dire de la qualité de l’étude réalisée, ce qui suppose un suivi réel de l’étudiant.
Il est demandé aux étudiants d’identifier et de formaliser en accord avec leur directeur du mémoire et leur tuteur de stage un problème à résoudre. Il s’agit d’opérationnaliser ce problème doublement : d’un point de vue théorique et d’un point de vue méthodologique. L’étudiant rédige une réponse au cahier des charges initial qui sera validée par ses deux encadrants. L’étudiant propose ensuite un protocole méthodologique qui sera lui aussi validé et qui s’inscrira dans un questionnement sociologique plus large.
Ensuite, lorsque le stage est lancé, afin d’assurer un suivi de qualité, des rendez-vous réguliers sont organisés avec les étudiants, de manière collective au travers de deux rendez-vous communs à la promotion, mais aussi en face-à-face ou à distance, en visio-conférence, avec leur directeur de mémoire, si éloignement géographique, dispositif qui s’impose en cas de stage à l’étranger. Il s’agit ici de s’assurer que l’intégration de l’étudiant au sein de l’entreprise ou de la collectivité territoriale se fait convenablement, que la commande est claire, que la réponse à l’appel d’offres répond aux exigences scientifiques et du terrain, que le partenariat entre le stagiaire, le commanditaire et l’Université se déroule de manière concertée et bénéfique tant pour l’étudiant que pour l’organisation qui accueille. Des restitutions intermédiaires sont demandées au fil du stage : de la commande initiale jusqu’à la restitution finale.
Le stage professionnel constitue un élément clé du dispositif de formation dans ce master. C’est en effet dans le cadre de cet exercice que l’étudiant va se retrouver pour la première fois en situation d’autonomie, responsable, avec un tuteur de stage en institution et un directeur de stage à l’université, pour mettre à l’épreuve ses savoirs, savoir-faire et savoir-être professionnels.
Le choix a été fait par l’équipe pédagogique de laisser dans un premier temps l’étudiant trouver seul son stage en fonction des spécificités de son projet. Il peut alors notamment s’inspirer des archives du master qui contiennent plus de vingt années de rapports de stage ainsi que d’une base de données des lieux de stage contenant de plus de 400 références de stages réalisés par les étudiants des promotions antérieures. Si malgré ces supports, l’étudiant ne trouve pas de stage, le réseau de coopération mis en place avec le monde professionnel et tout particulièrement avec les collectivités locales et les entreprises régionales permet, en dernier ressort, de lui en trouver un, si bien que chaque année, tous les étudiants sans exception partent en stage. L’étudiant a aussi la possibilité de se tourner vers le SCUOIP de l’université qui met à sa disposition une plate-forme de diffusion d’offres de stages.
Un aspect particulièrement observé est la capacité d’intégration de l’étudiant en situation de travail. Au final, cela revient à remobiliser l’ensemble des compétences acquises lors des trois précédents semestres. Les deux rendez-vous collectifs en avril et en juin qui réunissent les stagiaires à l’université sont l’occasion pour les stagiaires, outre de rencontrer leurs directeurs de mémoire de stage, d’échanger quant à leurs difficultés ou problèmes communs.
L’évaluation des stages repose sur quatre dispositifs :
1- rapport de 70 à 100 pages maximum,
2- diaporama de présentation du rapport pour un oral (15 à 20 minutes de présentation et environ 3/4h d’échanges avec le jury),
3-synthèse d’une page,
4-L’ensemble de ces éléments est évalué avant fin septembre, conjointement par le directeur de mémoire qui a suivi le stage et par le tuteur du stage, dans le cadre d’une soutenance. L’exercice donne lieu à trois notes :
− Une première pour évaluer le comportement global du stagiaire sur le lieu de stage,
− Une deuxième sanctionne le rapport d’étude en lui-même,
− La troisième évalue la prestation orale lors de la restitution du travail.
Le principe est de placer l’étudiant en position de chargé d’étude et/ou de mission. De ce fait, le responsable universitaire du stage (le directeur du mémoire) est étroitement associé au tuteur (le responsable en entreprise ou administration) à la négociation du contenu du stage et se porte garant des résultats du stage, c’est-à-dire de la qualité de l’étude réalisée, ce qui suppose un suivi réel de l’étudiant.
Il est demandé aux étudiants d’identifier et de formaliser en accord avec leur directeur du mémoire et leur tuteur de stage un problème à résoudre. Il s’agit d’opérationnaliser ce problème doublement : d’un point de vue théorique et d’un point de vue méthodologique. L’étudiant rédige une réponse au cahier des charges initial qui sera validée par ses deux encadrants. L’étudiant propose ensuite un protocole méthodologique qui sera lui aussi validé et qui s’inscrira dans un questionnement sociologique plus large.
Ensuite, lorsque le stage est lancé, afin d’assurer un suivi de qualité, des rendez-vous réguliers sont organisés avec les étudiants, de manière collective au travers de deux rendez-vous communs à la promotion, mais aussi en face-à-face ou à distance, en visio-conférence, avec leur directeur de mémoire, si éloignement géographique, dispositif qui s’impose en cas de stage à l’étranger. Il s’agit ici de s’assurer que l’intégration de l’étudiant au sein de l’entreprise ou de la collectivité territoriale se fait convenablement, que la commande est claire, que la réponse à l’appel d’offres répond aux exigences scientifiques et du terrain, que le partenariat entre le stagiaire, le commanditaire et l’Université se déroule de manière concertée et bénéfique tant pour l’étudiant que pour l’organisation qui accueille. Des restitutions intermédiaires sont demandées au fil du stage : de la commande initiale jusqu’à la restitution finale.
Le stage professionnel constitue un élément clé du dispositif de formation dans ce master. C’est en effet dans le cadre de cet exercice que l’étudiant va se retrouver pour la première fois en situation d’autonomie, responsable, avec un tuteur de stage en institution et un directeur de stage à l’université, pour mettre à l’épreuve ses savoirs, savoir-faire et savoir-être professionnels.
Le choix a été fait par l’équipe pédagogique de laisser dans un premier temps l’étudiant trouver seul son stage en fonction des spécificités de son projet. Il peut alors notamment s’inspirer des archives du master qui contiennent plus de vingt années de rapports de stage ainsi que d’une base de données des lieux de stage contenant de plus de 400 références de stages réalisés par les étudiants des promotions antérieures. Si malgré ces supports, l’étudiant ne trouve pas de stage, le réseau de coopération mis en place avec le monde professionnel et tout particulièrement avec les collectivités locales et les entreprises régionales permet, en dernier ressort, de lui en trouver un, si bien que chaque année, tous les étudiants sans exception partent en stage. L’étudiant a aussi la possibilité de se tourner vers le SCUOIP de l’université qui met à sa disposition une plate-forme de diffusion d’offres de stages.
Un aspect particulièrement observé est la capacité d’intégration de l’étudiant en situation de travail. Au final, cela revient à remobiliser l’ensemble des compétences acquises lors des trois précédents semestres. Les deux rendez-vous collectifs en avril et en juin qui réunissent les stagiaires à l’université sont l’occasion pour les stagiaires, outre de rencontrer leurs directeurs de mémoire de stage, d’échanger quant à leurs difficultés ou problèmes communs.
L’évaluation des stages repose sur quatre dispositifs :
1- rapport de 70 à 100 pages maximum,
2- diaporama de présentation du rapport pour un oral (15 à 20 minutes de présentation et environ 3/4h d’échanges avec le jury),
3-synthèse d’une page,
4-L’ensemble de ces éléments est évalué avant fin septembre, conjointement par le directeur de mémoire qui a suivi le stage et par le tuteur du stage, dans le cadre d’une soutenance. L’exercice donne lieu à trois notes :
− Une première pour évaluer le comportement global du stagiaire sur le lieu de stage,
− Une deuxième sanctionne le rapport d’étude en lui-même,
− La troisième évalue la prestation orale lors de la restitution du travail.