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NOS SPORTIVES ET SPORTIFS DE HAUT NIVEAU ont du talent !
Ce lundi 4 décembre, l’UT2J a mis à l’honneur les étudiant·es sportives et sportifs de haut niveau alors qu’une année pas tout à fait comme les autres se prépare.
Exigence, collectif et intelligence !
Difficile en cette année de sélections olympiques et de déplacements internationaux de ne pas parler de préparation, d’accompagnement et d’expériences extraordinaires pour nos sportives et sportifs SHN de l’UT2J !
C’est en substance ce que Matthias LEROY (en Equipe de France de foot sourd), Clémentine PAGES et Cyrielle AUGE (en Equipe de France de rugby et au Blagnac Rugby Féminin), Ayoub BOUITA, Thomas MIROUZE et Urvan NAHUM (en équipe universitaire toulousaine de futsal, championne de France 2023) et Adèle BLANCHETIER (en Equipe de France de natation) ont évoqué en présentant leur parcours et les objectifs qu’ils se fixent aujourd’hui. Au cœur de leurs projets, ils ont tour à tour souligné la qualité du dispositif qui leur donne accès à un accompagnement sportif et éducatif personnalisé, qui s’adapte à leurs besoins et à leur quotidien, fait de l’enchainement d’heures en entrainement, en compétition… et de cours, à distance ou sur leurs campus, ponctués d’examens ! Ce qu’elles et ils appellent leur « équilibre » !
20 ans d’engagements
Depuis 20 ans maintenant, les équipes pédagogiques du SUAPS et dans les départements de l’université soutiennent les étudiants au statut de SHN pour leur permettre de poursuivre leurs études de manière sereine, tout en les incitant à bien investir leur carrière sportive universitaire pour être remarqué·e aux niveaux national et international.
Pour parvenir à rendre cette scène sportive dynamique, le travail est axé sur l’exigence, l’engagement personnel au service du collectif et la combinaison des forces des universités toulousaines. C’est ainsi qu’année après année émergent de nouveaux talents parmi la centaine de SHN qui participent régulièrement et discrètement au rayonnement de l’UT2J, à travers la France, l’Europe voire le monde.
Et c’est probablement parce que ce dispositif fonctionne bien qu’aujourd’hui une réflexion est menée au niveau national et au sein de l’UT2J sur la création d’un statut similaire pour les étudiants artistes. Là, aussi, notre université peut faire valoir des talents pour aujourd’hui et demain, ici et ailleurs.